Alltagsbegleitung für Menschen mit Behinderung

Vacances adaptées: Saint Julien de Lampon (Périgord) – France

J’avais passé un séjour préalable à cet investissement professionnel dans ce magnifique village du Périgord Noir du nom de Saint-Julien-de-Lampon (24). J’y avais vécu sur la place centrale du bourg le long d’un automne coloré et riche en rencontres. Je me trouvais accompagné d’autochtones et d’autres habitants tout en suivant la Dordogne et ses légendes à travers les cafés, des repas et beaucoup de rencontres spontanées. Merci beaucoup à vous tous!

Lors d’un de mes déplacements dans la belle région en 2023, j’avais pû me présenter à Madame la gérante d’un organisme de „vacances adaptées pour handicapées“ et trouver un engagement pour l’année suivante en mars 2024.

L’organisme de vacances adaptées propose tout un tableau d’activités et de résidences luxueusement équipées pour des personnes qui souffrent d’un dysfonctionnement psychique assez important. Souvent il y a accompagnement de légers inaptitudes physiques également, mais plutôt de caractère léger.

Mon boulot de printemps, comme il était convenu l’année précédente avec Madame la gérante, aurait dû englober des tâches d’accompagnement physique et les petits soins seulement. Elle précisait également que les clients disposaient tous de leurs propres capacités physiques pour les soins, nécessitant seulement un accompagnement de „présence“ dans ma pratique professionelle.
La responsabilité médicale et légale des soins et d’autres applications ne seraient pas sous ma responsabilité. Je ne serais que la deuxième personne sur les lieux pour assister à l’éducateur responsable. Madame précisait bien qu’il y aura présence de trois ou quatre autres „educateurs“. Je ne serais pas en charge de responsabilité fonctionnelle.

Mon voyage de Sodome à Gomorrhe

Je venais de faire un trajet de 1500 kilomètres dans une vieille Golf pour me présenter à mon emploi sans qu’il y avait signature de contrat préalable. Il y avait un petit échange de lettres d’emails et de coups de fil, mais j’ai dû faire confiance à sa simple incapacité d’organisation pour m’envoyer le contrat avant un tel voyage d’affaires.

Dans le but de me reconstruire une vie professionnelle en France, j’ai passé l’été dernier 2023 dans le village de Saint-Julien-de-Lampon afin de me familiariser avec le système social et d’acquérir de nouvelles pratiques professionnelles „françaises“. J’étais surtout curieux de me découvrir personnellement dans la pratique avec le travail avec et pour des personnes handicapées.
Comme convenu, je m’étais donc présenté dans son bureau le 19 mars pour la signature du contrat. Elle m’avait accordé un logement du mardi (19 mars) jusqu’à l’arrivée des vacanciers le vendredi 22 mars.
Ce logement privé faisait partie de notre engagement professionnel car j’avais besoin de me reposer un peu avant de début de travail, ayant parcouru un parcours de presque 1500 kilomètres pour arriver à Saint-Julien-de-Lampon.

Lors de la réunion pour la signature du contrat le 19 mars, j’ai dû remarquer qu’il contenait des clauses obligatoires nécessitant certains brevets ou autres pour pouvoir signer ce contrat. Je ne m’attendais pas à cela, car elle était bien au courant que je n’en disposais pas.

Suite à mon étonnement, Madame Landelle m’a expliqué que „cela n’était que nécessaire pour la rédaction légale du contrat mais que dans la pratique, cela n’était pas nécessaire“. Ce serait juste une formalité à ignorer. Personne d’autre n’allait regarder ce contrat qui allait rester entre ses mains autrement.
Elle m’a réinvité de signer ce contrat car ma signature du contrat était nécessaire pour garder la forme légale et pour mon embauche immanente. Suite à mes hésitations formulées, elle m’a redit que de toute manière je n’allais pas être seul sur les lieux, et que mes collègues allaient porter la responsabilité professionnelle.

Dans cette réunion pour la signature du contrat, elle m’a de surcroît précisé que je ne pourrais pas obtenir de contrat autre avec son établissement et que je ne pourrais surtout pas disposer de logement préalable au boulot. Elle a aussi précisé qu’elle ne me donnerait pas les clefs pour mon logement qu’elle m’a promis l’année précédente, si je ne signais pas toute de suite.

J’ai donc dû signer le contrat pour ne pas me trouver dans la rue et pour obtenir un emploi dans cette association. Je me permets de vous souligner que je me trouvais dans un pays étranger sans autre soutien que mes propres ressources. J’étais par conséquent forcé de signer le contrat sans d’autres réflexions afin de pas perdre cet emploi et ainsi me trouver dans la rue à l’étranger.

à cette période de l’année qui était encore bien fraiche.

J’ai donc pu loger pendant trois nuits dans son établissement avant de commencer l’emploi. Pendant ce temps, j’ai fait mon mieux de ne pas la rencontrer. 

Suite à mon étonnement, Madame Landelle m’a expliqué que „cela n’était que nécessaire pour la rédaction légale du contrat mais que dans la pratique, cela n’était pas nécessaire“. Ce serait juste une formalité à ignorer. Personne d’autre n’allait regarder ce contrat qui allait rester entre ses mains autrement.
Elle m’a réinvité de signer ce contrat car ma signature du contrat était nécessaire pour garder la forme légale et pour mon embauche immanente. Suite à mes hésitations formulées, elle m’a redit que de toute manière je n’allais pas être seul sur les lieux, et que mes collègues allaient porter la responsabilité professionnelle.

Dans cette réunion pour la signature du contrat, elle m’a de surcroît précisé que je ne pourrais pas obtenir de contrat autre avec son établissement et que je ne pourrais surtout pas disposer de logement préalable au boulot. Elle a aussi précisé qu’elle ne me donnerait pas les clefs pour mon logement qu’elle m’a promis l’année précédente, si je ne signais pas toute de suite.

J’ai donc dû signer le contrat pour ne pas me trouver dans la rue et pour obtenir un emploi dans cette association. Je me permets de vous souligner que je me trouvais dans un pays étranger sans autre soutien que me propres ressources. J’étais par conséquent forcé de signer le contrat sans d’autres réflexions afin de pas perdre cet emploi et de ne pas me trouver dans la rue à l’étranger à cette période de l’année qui était encore bien fraiche.

J’ai donc pu loger pendant trois nuits dans son établissement avant de commencer l’emploi. Pendant ce temps, j’ai fait mon mieux de ne pas la rencontrer.